Etrange spectacle

Dark Shade poussa les immenses portes du hall et y pénétra.

Il fut surpris devant l'agitation qui y régnait, d'innombrables personnes s'affairaient dans tous les sens. Il s'avança de quelques pas. Un halo de lumière l'entourait totalement.
Il fut surpris par la beauté de lieux. De fines feuilles d'or étincelaient sur les immenses colonnes qui soutenaient la voute.
Personne ne l'avait encore remarqué. Il scrutait les moindres recoins du grand Hall.

Soudain, ce fut le silence total, une douleur flamboyante l'envahit, qui le pétrifia entièrement, il tomba à genoux. Son coeur battait à la chamade, sa tête semblait exploser intérieurement. Le souffle court, il murmura :
"Non ... Pas maintenant ..."
Il plaqua ses mains contre sa tête essayant de résister à cette douleur soudaine. Puis il fut envahit par les ténèbres.
"Non ... Non ... Nonn ..."
Des cris stridents et des hurlements retentirent dans sa tête. Il vit des corps allongés à l'agonie baignant dans leur sang, d'autres cris. Il entendit des explosions à proximité de lui la peur le tenait figé devant cet immense carnage. La neige tombait en de minuscules flocons sur son long manteau. Quelqu'un cria son nom. DARK SHADE !
Il se retourna. Une autre explosion, semblable à un coup de feu retentit puis plus rien. Le silence total.
Il voyait les flocons tomber sur lui. Il entendit un murmure lointain qui semblait l'appeler. Il referma les yeux.

Quelques instants plus tard, il rouvrit des yeux bouffis. Il vit la voute scintillante du Hall.
Il tourna la tête et vit une foule de personnes amassées autour de lui.
"Monsieu !? Vous allez bien !?" lui dit quelqu'un. Il ne répondit pas et essaya de se relever.
"Vous avez poussé des hurlements... On croyaient que..." Il n'eu pas le temps de terminer sa phrase, Dark Shade l'interrompit : "Tout va très bien ! Je ... J'ai eu un malaise c'est tout !" dit il d'une voix ferme.
Il était épuisé, ses mèches blanches étaient collées sur son visage par la sueur. Il réussit à se relever lentement. Il rougit de honte devant toutes ces personnes assemblées devant lui le regard inquiet. Il fallait que ça lui arrive aujourd'hui, le premier jour ou il arrivait. Encore éprouvé par cette mésaventure, il essaya de continuer son chemin.
Quelqu'un l'interpella :"Vous ne voulez pas vous reposer, boire un verre d'eau ?"
Il dit d'une voie enrouée : "...'Pas besoin d'aide ! ... Merci ..."

Il continua lentement son chemin en titubant légèrement tout honteux d'avoir fait son entré ainsi.

Willow n’avait pas perdu un miette de se spectacle, un
nouvel arrivant, rameutant des gens autour de lui. Elle l’avait bien entendu
crier, elle reconnut ces cris, comme un poignard qu’on lui enfoncé dans le cœur
à chacun de ces cris. Pour Willow s’était évidant, ce jeune homme avait
connut un massacre. En haut des escaliers, regardant chacun des élus qui
étaient encore présent, tous les même, curieux vautours qu’ils étaient.
Effectivement, mise à par c’est amis, Willow considéré les autres élus comme
des vautours en quête de malheurs d’autrui. Se qui la dégoûté chaque jour peu à
peu. Elle avait peu être tort, mais elle les voyaient comme ça. Elle attendit
que la foule se disperse pour partir à la rencontre du jeune élu de l’ombre.
Dévalant les escaliers d’une rapidité époustouflante elle arrêta le jeune
homme.

- Ne temps fait pas …dans quelques semaines ils auront
oublier cet accident. Je suis Willow Marvel, élue de l’ombre comme toi.

Willow n’avait pas besoin de grand-chose pour savoir quel
don il maniait, cela lui paressait si évidant ! Le flux de magie que dégorgeait
le jeune homme était noir. Les cris qu’il avait poussés étaient ceux des macabres
victimes qu’il avait du croisé. Les mêmes cris que les enfants, les jeunes femmes
et les hommes avaient poussés quand par sa faute le navire c’était écrasé contre
les récifs. Repensant à ça, Willow revis les visages des pauvres gens écrasé sur
la roche. C’est le cœur serré qu’elle continua à parler d’une voie plus basse.

- C’est cris que tu as poussé…ils étaient bien du aux voies
de personnes effrayaient ?!

Willow se dis tout d’abord qu’il devait la prendre pour une folle.
Mais elle voulait savoir, si c’est cris était ceux de victime qui revenaient sans
cesse dans sa tête. Est-ce les même genre de cris qui la hanté ? Et comment
pouvait elle les stopper. Elle savait bien qu’il n’aurait peu être aucune réponses
à ses questions mais elle voulait quand même tenter.

Voyant le visage du jeune homme, il avait l’air complètement
à bout. Les larmes aux bords des yeux, Willow ressentit comme des picotements
dans les siens, son cœur se serra, elle eu une boule dans la gorge. Elle savait bien, se sentiment lourd et pèsent,
revivre la même chose, se souvenir repassant en boucle dans sa tête. Voyant les
gens commençant petit à petit à refaire une foule autour d’eux, chuchotant tant
d’âneries. Willow se sentit à son tour très mal à l’aise, tout ses regards
encore une fois posés sur elle. Elle se mit après à la place de Dark, qui
devait encore se sentir plus mal, deux fois en un si peu de temps. Willow ferma
les yeux, l’attrapa par le bras et récita sa clé, comme un murmure. Elle se plongea dans une brume noirâtre,
épaisse et calme. Plongeant la foule dans ce noir où règnent le chaos et les
ténèbres. Plus un bruit, comme ci le temps était arrêter. Ce qui reposa l’esprit
de Willow, calmant aussi ses sentiments. Doucement elle tira l’élu de l’ombre
avec elle, montant doucement les escaliers sans que personne les voie disparaître
du hall. Montant doucement les marches,
elle lui parla à voie base pour pas qu’il s’inquiète de ce silence soudain.

- Tu vois cette manière d’utilisé l’ombre est bien
reposante, elle permet de faire taire les voies que tu entend, t’aidant aussi à
te cacher. Mais il ne faut pas trop en abusé…ce calme peu devenir effrayant si
tu vois se que je veux dire.

Montant tranquillement les escaliers. Ils montèrent jusqu’au
premier étage, elle fit disparaître la brume noir qu’elle avait fait, la foule ne dit rien pendant un cour moment,
encore sous le choc de ce court silence apaisent. Puis elle regarda Dark.

- Bon je vais te faire visiter. Puis si tu veux plus tard
je te montrerais comment faire cette brume reposante à moins que tu saches déjà
la faire.

Elle poussa la porte du dortoir des garçons. Elle n’y était
jamais aller mais se devait être à peu près comme celui des filles.