Chambre de Kuroya et Sylphide.

Mathilde pénétra dans une des chambres libres, suivie par Kuroya et Sylphide. L'endroit était grand, avec une large fenêtre découpée dans le mur, face à la porte. Les tons étaient crèmes, de façon à ce que chaque élu décore son coin à sa manière. Rapidement, Mathilde désigna les deux lits qui tronaient dans la pièce et dit:

Voilà vos lits. Aux pieds, vos armoires, dans lesquelles vous trouverez quelques vêtements.

Tout en parlant, elle désignait les objets. Puis elle se dirigea vers la fenêtre et ouvrit les rideaux grisâtres qui la couvrait. Immédiatement, un rayon lumineux et chaleureux pénétra dans la pièce. Mathilde se retourna, éclairait par l'astre, vers les deux autres, un sourire aux lèvres:

Ça vous va? Des questions? Ah oui! Vous pouvez aussi décorer vos lits comme vous le voulez.

Mathilde les avait guidées vers une chambre avec une grande fenêtre, Kuroya n'aimait pas trop la lumière mais comme on pouvait décorer les chambres comme on voulait, elle pourrait arranger ce petit côté négatif. Elle apréciait tout de même la chambre, finalement on y allait surtout pour dormir... elle s'assied doucement sur le lit qui ne craque pas sous le poids de Kuroya, c'était un lit confortable avec une dureté idéale.

Citation :

Ça vous va? Des questions? Ah oui! Vous pouvez aussi décorer vos lits comme vous le voulez.

"Pas de questions pour moi, en tous cas."

Elle dit cela sur un ton neutre nuancé d'aimabilité. Kuroya se demande alors si les gens sont nombreux à être passé ici.

"Au fait... il y a beaucoup de monde ici?"

Mathilde s'était assise sur une chaise qui était cachée dans un coin et regardait par la fenêtre, perdue dans ses pensées. Un léger sourire réveur relevait les coins de sa bouche. La question de Kuroya la fit légèrement sursauter. Elle se redressa et fixa l'élue de l'Ombre, un long moment avant de répondre, comme si elle venait tout juste de comprendre la question:

Ah! Euh... je ne sais pas. Il y a moins de monde qu'a Tara, c'est certain.

Elle pensa tristement au deux seuls élus de la Terre qu'elle avait comme élèves. À sa connaissance, les plus nombreux étaient du feu. Et encore, il y en avait peu. Alors elle répondit, cette fois certaine de sa réponse:

Il y en a pas beaucoup non, en fait...

De nouveau, elle sourit, histoire de paraitre chaleureuse.

Sylphide se décida à réagir un peu. elle s'était tue, plongée dans ses pensées epdnant un moment, mais elle refit surface et posa la question qui lui tenait à coeur.

Euh, désolé de vous interompre, mais bon, je me suis rendue compte tout à l'heure que je n'avais pas mes affaires, pas de valises. Vous savez si c'est possible de faire un voyage jusqu'à Tara pour els récupérer, ou s'il y a un autre moyen de s'arranger? C'est que j'y tiens un peu, il y a tout dedans.

Elle fit le tour de sa nouvelle chambre, l'admirant en attendant la réponse, mais sedemandant cependant si le voyage était la meilleure solution. L'Académie de Tara était peut être loin d'ici...

Mathilde se tourna vers Sylphide. Un sourire malicieux étira de nouveau ses lèvres et elle se leva. Elle s'avança, énigmatique, vers l'armoire qui était au pied du lit destiné à être celui de l'élue de l'air, et l'ouvrit. Dedans, soigneusement empilés, il y avait quelques vêtements et un jeans.

Je crois que tu ne retrouveras pas ta valise, mais voici de quoi survivre en vêtements pendant une semaine.

Puis, elle se rappela, en fronçant les sourcils, de l'argent qu'elle avait dans sa poche. Alors, elle sortit une petite bourse en cuir usagé et le tendit à Sylphide, bien que ses paroles soient destinées aux deux élues:

Voilà un peu d'argent, qu'on m'a donné afin que je m'en serve à aider les autres élus. Tu pourras t'acheter des vêtements avec.

Son regard s'attarda sur Sylphide pour dévier enfin vers l'élue de l'Ombre.

Et si Kuroya en a besoin, j'espère que tu sauras partager.

Elle s'apprêta à retourner s'asseoir sur la chaise quand elle se rendit compte qu'il était temps qu'elle laisse les deux élues seules pour qu'elles s'installent. Elle ouvrit la porte et expliqua avant de s'en aller définitivement:

J'y vais maintenant. Si vous avez besoin d'aide, n'hésitaient pas à m'appeler. Sylphide, ta Conseillère Divine s'appelle Asuka Wilensky, elle est adorable. Kuroya, la tienne, je ne la connais pas, mais je crois qu'elle s'appelle San Takeo. Si vous les rencontrez, il faut que vous leur parliez de vos pouvoirs sans hésiter.

Mathilde s'occupait de Sylphide et Kuroya attendait qu'elle ait fini. Elle donne ensuite une bourse de cuir à Sylphide et dit que l'argent est pour elle deux. Kuroya, en effet avait laissé beaucoup de vêtement sur Tara, mais elle se doutait bien qu'elle devrait sûrement changer de style car le sien n'éatait pas forcément pris en compte par les couturiers. Elle acquièsca gentiment au nom de sa conseillère divine et dit agréablement au revoir à Mathilde quand elle partait. Celle-ci partie, elle retrouve son état de référence. Partager une chambre avec une rescussitée lui plaisait, ça lui rappellait ses origines.

"Bon, voilà. Quand nous serons installées, il faudra aller acheter ce qui manque."

Elle s'assied sur un lit et pense distraitement pendant quelques instants avant de s'allonger. Elle n'avait pas apporté grand chose et il était inutile de s'affairer à ranger maintenant, tout ce qu'elle fit consista à mettre un roman d'horreur sur la table de nuit et sa collection de manga Hellsing dans une armoire: le reste pouvait attendre.

Sylphide ne savait pas s'il fallait râler ou se réjouir : toutes ses affaiers étaient apparemment perdues, mais elle s'était faite si rapidement des... copines, on ne peut pas encore les appeler ses amies, elle les connaissaient à peine. En plus, elle avait la possibilité de s'acheter de nouveaux vêtements, car évidemment, son argent était aussi dans sa chambre sur Tara. Mais bon, autant profiter de la situation, apparemment, elle allait pouvoir faire les boutiques avec Kuroya, mais de toute façon, elle n'était pas trop dépensière.

tu penses que nous sommes installées, ou tu veux vider ta valise maintenant? Parce que je ne vois pas pourquoi on s'attaderait plus longtemps, à moins que tu ne veuille te repo...

Elle s'aperçu alors une nouvelle fois dans quel état elle était. Il fallait qu'elle se douche et qu'elle prenne des affaires avec elle pour se changer. Mais avant de regarder un plan, le plus simple était de demander.

En fait, je vais finallement m'attarder un peu? Tu sais où sont les douches? Sur Tara il y en avait des simples et des mixtes. Elles sont où ici?

Kuroya, toujours allongée sur son lit, commença à décorer son coin en tirant de posters de son sac et les déroula pour voir quel poster irait à quellle place. Bien sûr, en majorité, ils traitaient d'Alucard et d'autres personnages de la série préférée de Kuroya. Elle arranrea son côté et il ressembla bientôt à un mémorial au nom de la série, plus des images tournant au gore. Son côté de la chambre mettait une ambiance assez... particulière. Qui pouvait bien dormir là dedans à part elle.

Elle n'avait pas répondu tout de suite à Sylphide au sujet des douches, elle était dans son monde, puis elle se rendit compte qu'on lui avait posé la question. Elle sortit donc de ses pensées un peu "décalées" et répondit à la question après une petite hésitation. Elle avait aussi réfléchit pour ne pas dire n'importe quoi.

"Je ne sais pas, mais c'est sûrement indiqué quelque part... j'ai vu un tableau avec tout ça en venant ici."

°° Coin officiellement operationel... °°

Sylphide regarda le coin que s'aménageait Kuroya : l'ambiance ne la dérangeait pas trop, même si le gore lui rappelait de mauvais souvenirs. Quand Kuroya lui répondit, elle se dit qu'une petite douche rapide ne devrait pas mettre trop de temps, donc elle emporta un T-shirt blanc, un jean et des sous-vêtements ainsi qu'une serviette pour s'essuyer. Puis, elle réfléchit un instant et prit un maillot de bain (et oui, y'a tout décidemment dans ce placard ^^) et s'expliqua à sa colocataire

Je crois que les douches sont mixtes donc, au cas où...sinon, j'en ai pas pour très longtemps, il me semble qu'on est passé devant tout à l'heure en venant. ça doit être à cet étage.

Puis elle sortie de la chambre, en sachant qu'elle ne serait pas longue car elle aperçu les douches un peu plus loin dans le couloirs.


[Vu que ce n'est qu'une douche, je ne prend pas la peine de faire un post ^^, je revient tout de suite après ^^]

Kuroya, ayant remarqué la discrétion de Sylphide, se releva et se leva complétement du lit. A présent debout devant Sylphide, elle dit sur un ton interrogatif:

"On devrait aller chercher de quoi nous habiller, non?"

Elle regarde Sylphide dans son jean et se dit qu'elle ne portera jamais ça. Elle allait chercher de préférence des choses larges et amples qui laisserait respirer pleinement sa peau. Elle se dirigeait vers la porte, sûre que Sylphide n'allait pas être contre ce shopping indispensable étant donné le peu de biens qu'elles avaitent. S'arrêtant près de la porte, elle attend que sa colocataire amorçe un départ elle aussi pour sortir de la chambre. Mais elle pense tout-à-coup que Sylphide n'a pas rangé ses affaires, ce qui l'incite à demander "si tu ne veux pas ranger tes affaires" mais son cerveau lui rappelle soudain qu'elle n'a rien à ranger et donc, Kuroya ne dit finalement rien.

HRP// Si tu sors, dis qu'on sort et je ferais un sujet là où il faut //

[ok, bon ben on sort, et tu fais le sujet là où il faut lol.mais si tu veux je te fait une réponse très longue pour dire, en prennant tout montemps, que Sylphide, face à un dilemne, décide finallement de te suivre, quite à se perdre dans le labyrinthe de couloirs et de dédale qu'est cette nouvelle et mystérieuse académie. ^^]

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Kuroya s'éveille doucement, après un vrai rêve, et se lève pour s'asseoir, Sylphide n'est plus là et elle se redresse afin d'enfiler d'une robe de chambre fine avec un pentagramme dans le dos. On pouvait cependant deviner ce qu'il y avait en dessous, c'est-à-dire ses sous-vêtements, car ceux-ci étaient noirs et le peignoir fait d'un tissu délicat.
Mais peu importait puisqu'elle était seule, elle se met à la fenêtre et remarque que des tas de gens sont déjà sortis, mais regardant l'heure, elle voit aussi que les cours n'opnt pas encore commencés, en fait ça doit être le repas du matin.
Kuroya n'a pas franchement faim et décide qu'elle ne mangerait pas aujourd'hui. Elle réfléchit un peu à la journée précédente:

°° Je me réveille et je me retrouve dans la même lingerie, mes vêtements sont bien là, c'était bien réel. ^^
Je suis dans un état bien plus serein que d'habitude et j'aime bien ça... c'est relaxant de ne plus être seule. °°

Elle reste à regarder au loin, à sa fenêtre.

HJ: Une entrée inopinée, peut-être? ^^

Petit bond de 14 heures en arrière ...
Le petit couple c'était quitté au premier étage car Spyjer devait aller voir l'infirmière pour lui montrer ces marques lugubres qui apparaissaient sur sa poitrine et sur ses ongles. On va zapper le moment du verdict qui est très embarrassant mais je vais te le dire cher lecteur : La marque sur la poitrine n'était qu'autre que du sang qui avait tellement sécher qui apparaissait noir et pour les ongles ce n'étaient que des bleus mais maintenant il vernira en noir il trouvait que ça faisait bien (--") . Bien le présent maintenant ...
Spyjer sortit de la douche tout-beau tout-propre mais ce qui est marrant avec Spyjer c'est que le matin il est très tête en l'air et il avait oublier des affaires de rechanges dans sa chambre et il se baladait dans le deuxième étage seulement vêtue d'une serviette. Pendant qu'il errait il passa devant une chambre qui était étrange car elle diffusait l'odeur du sang mais plus précisément celui de Spyjer, il saretta et se demandait comment l'odeur de son sang pouvait tans se sentir puis comment elle a put se trouver dans une chambre qui n'est pas la sienne et pire dans celle d'une fille ...

*Mon dieu ! Serais-je Somnambule ?

Puis il prit son courage a deux main et décide de taper à la porte en espérant que ce n'ai pas ce qu'il imagine ...

Kuroya était tranquillement en train de regarder par la fenêtre quand elle sent comme une présence intriguante derrière la porte, elle n'y prête pas trop attention quand même , perdue dans ses pensées, et se met même à fredonner sans s'en aperçevoir.

Soudain, un "toc" la sort de ses pensées, puis un deuxième puis un troisième s'en suivit. Surprise, elle sursaute un peu, puis se ressaisit parce que ça ne lui ressemblait pas d'être si joyeuse, en tout cas de cette façon.

Elle va ouvrir la porte, oubliant quels vêtements elle portait pour découvrir, comme par hazard, Spyjer.
Elle rougit légèrement en le voyant, lui avait carrément oublier de s'habiller et était habillé en serviette, tout simplement.

Elle ne sait que faire, elle réfléchit trentes secondes avant de lâcher:

"Heu, on va dans le salon-cinéma, OK?"

Elle se change en vitesse et se rend soudain compte qu'elle n'a pas refermer la porte, et qu'il était toujours là !!
Rougissant pivoine, un temps s'écoule, topus les deux rougissant maintenant, à vrai dire.
Elle s'amène près de la porte et le ferme, un peu brusquement il est vrai, pour s'habiller, disant encore une fois:

"Salon cinéma, hein?" (derrière la porte)

°° Il m'a vue presque nue... la honte... °°

De nouvelles journées, suite.

Spyjer était nerveux de savoir qui pouvait bien dormir dans cette chambre puis la porte s'ouvrit, il vit le visage angélique de Kuroya et il comprit tout puis quand il baissa le visage pour se remémorait ce moment magique, il vit qu'elle était en nuisette de soie. Dans sa tête, une phrase s'éleva ...

*Very sexy !!!!

Mais elle fut suivit d'une claque psychique et il se mit à rougir devant la jeune fille, qui elle aussi était gênée puis elle lui suggéra d'aller au cinéma, qui se trouvait aux sous-sol mais quand Spyjer releva la tête pour lui répondre, il commençait à voir Kuroya se dévêtir et il remarqua qu'elle était en sous-vêtements mais il se retourna machinalement et rougit encore pour laisser place à un visage rubicond. Kuroya referma la porte sous précipitation et lui fit rappeler l'endroit du rendez-vous, il acquiesça avec un "Ok" puis se dirigea vers l'escalier mais soudain on entendit un cri strident de peur et de colère ...